Eves et Adam
Musée-école de la Perrine, Laval
07/07/2021 - 08/08/2021
Sept années nous séparent de l’exposition consacrée à Adam Nidzgorski, initiée par Antoinette Le Falher au MANAS, musée d’art naïf et des arts singuliers de Laval, où une part belle fut faite aux œuvres textiles. L'association CNS, Création Naïve et Singulière, a souhaité proposer cette année un éclairage sur son travail récent ainsi que sur des créations représentatives de son parcours, et les mettre en relation avec le travail d’autres artistes.
L’univers féminin compte pour beaucoup dans la vie d’Adam, lui qui entretient avec les femmes une relation de confiance et d’attirance. Leur coopération s’est exprimée notamment dans le domaine du sport, avec l’entraînement des premières équipes féminines de gymnastique ou de judo en Tunisie, puis dans la création artistique. Il a d’abord réalisé avec sa femme Catherine des œuvres textiles cousues main ; à partir des années 1980, la tisserande tunisienne Zina Mbarek a traduit ses cartons en tapisseries. L’exploration des possibilités textiles s’est étendue à d’autres collaborations, certaines masculines notamment avec l’artiste François Yémadjê, qui lui a fait découvrir les appliqués béninois, assemblages de tissus avec des points discrets.
Partant de sa complicité avec le travail des femmes, il nous a semblé opportun d’entourer l’œuvre d’Adam par celle des trois créatrices. La figure humaine y occupe une place de choix, sinon pour Adam la place unique. Ces trois artistes sont exposées pour la première fois en Mayenne.
Hélène Blondin s’est mise à créer un soir de 1996, au retour du travail, et ne s’est plus arrêtée depuis. Elle a exploré pendant un temps le thème de la nature, celui de l’arbre, devenu soudainement celui de la bouche, faisant basculer sa création dans l’imaginaire. Hélène est entrée alors dans la déclinaison d’un thème unique, figures humaines et animales agrégées dans une posture de douce contemplation et de protection, parfois enveloppées et soutenues par une épine dorsale en courbe, l’ensemble reposant souvent sur un pied matérialisé par une roue. Son œuvre témoigne d’une expérience de vie, celle du soin apporté à autrui et de la fragilité des êtres.
Chez Delphine Cadoré une attirance pour les arts primitifs est manifeste. Ses créations oscillent entre récit des origines et conte de fées, ce que confirme la présence du loup, des oiseaux de nuit, présences totémiques de visages humains, postures rituelles magiques d’êtres hybrides. Ces représentations sont le fruit d’un imaginaire instinctif. Les couleurs, intenses, évoquent les éléments constitutifs du monde en création, l’eau, la terre, le feu, l’air.
La création de Caroline Dahyot est mue par une attente et une espérance. Les éléments peints, brodés, collés en sont les talismans. Son œuvre vibre en chant d'amour, en ode adressée à la beauté et à la vie, acte unique, engagement de tout son être.
Pour Adam Nidzgorski, la mise en oeuvre intervient lorsqu’il en sent la nécessité. Avant de créer, il fait le vide en lui. Le premier jet le surprend, le perturbe. Il doit laisser reposer pour porter plus tard un regard apaisé et reprendre le travail. Une fois l’œuvre accomplie, il aura la sensation de s’être entièrement livré. Innocence et lucidité se mêlent dans les regards de ses personnages, regards de face qui interrogent le monde, questionnent la vie.
Avec ces quatre démarches nous sommes conviés à découvrir des approches témoignant d’une forme d’enfance de l’art. Avec elles, il nous est donné d’approcher l’origine de l’acte créateur, l’expression d’une humanité vécue intimement. Leurs œuvres sont des sources vives venant irriguer l’imaginaire et la sensibilité, la leur, la nôtre.
Jean-Louis Cerisier


Le regard, thème de prédilection dans l'histoire de l'art, interroge à la fois la représentation et la perception. L'association CNS53 a proposé, avec sa nouvelle exposition de l'été 2020, une mise en relation de six approches singulières. Au travers de cette diversité, l’opportunité était offerte aux visiteurs d’interroger les regards et de se laisser pénétrer intimement par eux.
Les exposants :
- François Chauvet, œuvres sur bois et collages centrées sur le regard.
- Martial Gouvenou, têtes dessinées et peintes, petits formats.
- Marie Hénocq, dessins, peintures, œuvres pyrogravées sur le thème du regard et du mouvement.
- Dominique Leroy, collages de têtes, petits, moyens et grands formats sur papier
- Emmanuelle Meynot, grandes peintures chamaniques et petites Katchinas.
- Jean-Paul Minster, groupes de personnages masqués et mutants, œuvres sur papier.
Exposition organisée avec le soutien de la ville de Laval, de la DAC (Direction des Affaires Culturelles) et du département de la Mayenne.
Jean-Louis Cerisier
REGARDS SINGULIERS
Musée-école de la Perrine, Laval
04/07/2019 -02/08/2019
REGARDS SINGULIERS
Musée-école de la Perrine, Laval
04/07/2019 -02/08/2019
tout milleville ou presque
Musée-école de la Perrine, Laval
19/10/2019 - 10/11/2019
« ...Je suis le geste, vous êtes le regard... »
Fabrice
Pour sa cinquième exposition au musée de la Perrine à Laval, CNS53 présente une rétrospective de la création pléthorique de Fabrice Milleville.
Fabrice a participé à de nombreuses expositions collectives, celles organisées par l’association AAA53 dont il est un membre actif, au Garage à Château Gontier, au CIAP de Sainte-Suzanne, « aux soudeurs de la nuit » ... Pour chacune d’elles il présentait de nouvelles peintures et installations qu’il remisait dans son grenier une fois celles-là terminées. Il était temps de lui proposer de « vider son grenier...ou presque .»* de les dépoussiérer pour qu’un large public les découvre ou les redécouvre.
Il a fait le geste de la création, nous avons croisé nos regards, sélectionné des oeuvres, photographié « ces tas de trucs et de machins bidules.»* et édité ce catalogue pour mémoire avant qu’ils ne retournent à l’oubli.
Fabrice est un artiste autodidacte, artisan, chercheur, inventeur, explorateur, expérimentateur...D’abord picturale sa création se diversifie; utilisant matériaux hétéroclites et recyclés, outils divers, logiciels, photos, vidéos, son... sur des supports variés et insolites il crée et met en scène son imaginaire sans cesse renouvelé.
Qu’il soit né un premier avril explique peut-être ce côté malicieux, goguenard, libre de rire de tout et de laisser libre cours à sa fantaisie. Il se représente : lilliputien au sommet de tours de Babel, sadique hilare mutilant sa photo d’identité, cible impassible dans un stand de tir ... Démiurge intentionné, machiniste de ses « trucs et machins bidules », il nous accueille avec gourmandise. Il nous amuse jusqu’au moment ou un détail nous arrête . Et là, l’émerveillement laisse place au désenchantement! L’Eden se fragmente, l’Enfer ou ce qui s’en approche se dévoile. L’être humain dans sa fragilité, sa sensibilité ne peut éviter l’interrogation de son devenir et du devenir du monde dans lequel il vit. A cet instant nous sommes le regard.
Jean-Luc Mady
*Fabrice Milleville

Du mercredi au dimanche de 14 h 30 à 17 h30
CNS53 a regroupé autour de Patrick Le Cour, quatre créateurs encore peu exposés : Michel Moncé, Clara Lemosquet, Martial Gouvenou et Philippe Bézier
Nous avons choisi d’orienter notre sélection d’œuvres pour cette exposition non pas sur la base d’un choix thématique mais en mettant en avant l’emploi de la couleur comme vecteur d’expression. Cette orientation permet de regrouper des œuvres très différentes ayant en commun la diffusion d’une énergie créatrice.
L’usage des tons et des gammes propres à chaque artiste apporte au spectateur des éléments de compréhension du processus de création : nuages de taches aux tons chauds et fauves, expression d’une réalité sensible et informelle chez Clara Lemosquet, puzzles géométriques dans un camaïeu pastel laissant apparaître çà et là des personnages énigmatiques ou ludiques chez Michel Moncé, magma de matière colorée d’où surgissent des figures schématiques chez Martial Gouvenou, chatoiement de couleurs procurant énergie et plaisir à l’expression d’un sujet chez Patrick Lecour, paillettes et vernis pour une promenade dans l’infiniment grand de Philippe Bézier.
La couleur, universelle, magnifie leurs expressions, singulières.
Jean-Louis Cerisier

Jonas en ce jardin, peintures (1993 - 2018)
Musée-école de la Perrine, Laval
06/10/2018 - 28/10/2018
Cette exposition présente quatre aspects de l'oeuvre picturale de Marc Girard, de 1993 à 2018. Outre son caractère rétrospectif, elle se veut une lointaine chambre d'écho au récit biblique du livre de Jonas. L'artiste passeur se confronte ici à la légèreté d'inviter les promeneurs d'un jardin à venir regarder ses peintures dans un pavillon attenant.
Chacune des quatre salles du Musée-école propose des oeuvres du peintre. L'imagerie affichée dévoile au fil du temps des figures récurrentes qui apparaissent au gré de variations imprévisibles. Il y a des rujms, des figures d'un Eden enfoui, des intérieurs au réalisme cru, des corps flottés, lévitant.
Ces images procèdent le plus souvent d'un geste d'élucubration graphique guidé par l'exploration du matériau utilisé, et surtout, par l'air ambiant. Une histoire s'esquisse, se devine sans toutefois se laisser définir.
Toute cette imagerie se voudrait la fatasmagorie d'un peintre-jonas dans le ventre d'un Musée-école qui serait pour un temps sa baleine. Qu'auraient à y trouver les promeneurs ce jardin-océan tout autour qui n'aie toujours été au coeur de la moindre corolle ? Il se le demande.
Marc Girard
Energies colorées
Musée-école de la Perrine, Laval
19/01/2019 -03/02/2019
Du mercredi au dimanche de 14 h 30 à 17 h30
CNS53 a regroupé autour de Patrick Le Cour, quatre créateurs encore peu exposés : Michel Moncé, Clara Lemosquet, Martial Gouvenou et Philippe Bézier
Nous avons choisi d’orienter notre sélection d’œuvres pour cette exposition non pas sur la base d’un choix thématique mais en mettant en avant l’emploi de la couleur comme vecteur d’expression. Cette orientation permet de regrouper des œuvres très différentes ayant en commun la diffusion d’une énergie créatrice.
L’usage des tons et des gammes propres à chaque artiste apporte au spectateur des éléments de compréhension du processus de création : nuages de taches aux tons chauds et fauves, expression d’une réalité sensible et informelle chez Clara Lemosquet, puzzles géométriques dans un camaïeu pastel laissant apparaître çà et là des personnages énigmatiques ou ludiques chez Michel Moncé, magma de matière colorée d’où surgissent des figures schématiques chez Martial Gouvenou, chatoiement de couleurs procurant énergie et plaisir à l’expression d’un sujet chez Patrick Lecour, paillettes et vernis pour une promenade dans l’infiniment grand de Philippe Bézier.
La couleur, universelle, magnifie leurs expressions, singulières.
Jean-Louis Cerisier
Du mercredi au dimanche de 14 h 30 à 17 h30
CNS53 a regroupé autour de Patrick Le Cour, quatre créateurs encore peu exposés : Michel Moncé, Clara Lemosquet, Martial Gouvenou et Philippe Bézier
Nous avons choisi d’orienter notre sélection d’œuvres pour cette exposition non pas sur la base d’un choix thématique mais en mettant en avant l’emploi de la couleur comme vecteur d’expression. Cette orientation permet de regrouper des œuvres très différentes ayant en commun la diffusion d’une énergie créatrice.
L’usage des tons et des gammes propres à chaque artiste apporte au spectateur des éléments de compréhension du processus de création : nuages de taches aux tons chauds et fauves, expression d’une réalité sensible et informelle chez Clara Lemosquet, puzzles géométriques dans un camaïeu pastel laissant apparaître çà et là des personnages énigmatiques ou ludiques chez Michel Moncé, magma de matière colorée d’où surgissent des figures schématiques chez Martial Gouvenou, chatoiement de couleurs procurant énergie et plaisir à l’expression d’un sujet chez Patrick Lecour, paillettes et vernis pour une promenade dans l’infiniment grand de Philippe Bézier.
La couleur, universelle, magnifie leurs expressions, singulières.
Jean-Louis Cerisier
Du mercredi au dimanche de 14 h 30 à 17 h30
CNS53 a regroupé autour de Patrick Le Cour, quatre créateurs encore peu exposés : Michel Moncé, Clara Lemosquet, Martial Gouvenou et Philippe Bézier
Nous avons choisi d’orienter notre sélection d’œuvres pour cette exposition non pas sur la base d’un choix thématique mais en mettant en avant l’emploi de la couleur comme vecteur d’expression. Cette orientation permet de regrouper des œuvres très différentes ayant en commun la diffusion d’une énergie créatrice.
L’usage des tons et des gammes propres à chaque artiste apporte au spectateur des éléments de compréhension du processus de création : nuages de taches aux tons chauds et fauves, expression d’une réalité sensible et informelle chez Clara Lemosquet, puzzles géométriques dans un camaïeu pastel laissant apparaître çà et là des personnages énigmatiques ou ludiques chez Michel Moncé, magma de matière colorée d’où surgissent des figures schématiques chez Martial Gouvenou, chatoiement de couleurs procurant énergie et plaisir à l’expression d’un sujet chez Patrick Lecour, paillettes et vernis pour une promenade dans l’infiniment grand de Philippe Bézier.
La couleur, universelle, magnifie leurs expressions, singulières.
Jean-Louis Cerisier
Du mercredi au dimanche de 14 h 30 à 17 h30
CNS53 a regroupé autour de Patrick Le Cour, quatre créateurs encore peu exposés : Michel Moncé, Clara Lemosquet, Martial Gouvenou et Philippe Bézier
Nous avons choisi d’orienter notre sélection d’œuvres pour cette exposition non pas sur la base d’un choix thématique mais en mettant en avant l’emploi de la couleur comme vecteur d’expression. Cette orientation permet de regrouper des œuvres très différentes ayant en commun la diffusion d’une énergie créatrice.
L’usage des tons et des gammes propres à chaque artiste apporte au spectateur des éléments de compréhension du processus de création : nuages de taches aux tons chauds et fauves, expression d’une réalité sensible et informelle chez Clara Lemosquet, puzzles géométriques dans un camaïeu pastel laissant apparaître çà et là des personnages énigmatiques ou ludiques chez Michel Moncé, magma de matière colorée d’où surgissent des figures schématiques chez Martial Gouvenou, chatoiement de couleurs procurant énergie et plaisir à l’expression d’un sujet chez Patrick Lecour, paillettes et vernis pour une promenade dans l’infiniment grand de Philippe Bézier.
La couleur, universelle, magnifie leurs expressions, singulières.
Jean-Louis Cerisier


Création populaire
La Bergerie du château de Sainte-Suzanne, Sainte-Suzanne
13/07/2018 - 26/08/2018
L’exposition Création populaire en Mayenne se tiendra du 13 juillet au 26 août, à La Bergerie du château de Sainte-Suzanne (53).
-
Exposition co-organisée par CNS (Création Naïve et Singulière) et par le CIAP (Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine)
ouverture tous les jours, de 10h00 à 19h00. Entrée libre.
Vernissage le vendredi 13 juillet à partir de 17h00.
Vous y découvrirez les travaux de quatre magiciens :
- Gustave CAHOREAU
- Patrick CHAPELIÊRE
- Céneré HUBERT
- Raymond LEMÉE
Un catalogue accompagne cette exposition. Il sera disponible (offert par le CIAP) à la librairie du château (face au lieu d’exposition).
Singuliers dessins
Musée de la Perrine, Laval
03/03/2018 - 25/03/2018

L’exposition est ouverte depuis le 3 mars et rencontre un franc succès, puisque nous y avons déjà accueilli plus de 1200 visiteurs.
Elle fermera ses portes le dimanche soir 25 mars. Plus que quelques jours donc pour découvrir toutes ces œuvres (près d’une centaine), avant qu’elles ne repartent vers d’autres cimaises… : sur Nantes pour Jean-Michel Chesné, au Mans (Puls-Art) pour Margot, à l’Outsider Art Fair de Bâles pour Darédo, et aux U.S.A. pour Koczy.
Chesné et Margot seront présents à La Perrine lors de cette fin d’exposition (ouverte du mercredi au dimanche de 14h30 à 18h30) : moments d’échanges privilégiés avec ces deux créateurs !
L’exposition est ouverte depuis le 3 mars et rencontre un franc succès, puisque nous y avons déjà accueilli plus de 1200 visiteurs.
Elle fermera ses portes le dimanche soir 25 mars. Plus que quelques jours donc pour découvrir toutes ces œuvres (près d’une centaine), avant qu’elles ne repartent vers d’autres cimaises… : sur Nantes pour Jean-Michel Chesné, au Mans (Puls-Art) pour Margot, à l’Outsider Art Fair de Bâles pour Darédo, et aux U.S.A. pour Koczy.
Chesné et Margot seront présents à La Perrine lors de cette fin d’exposition (ouverte du mercredi au dimanche de 14h30 à 18h30) : moments d’échanges privilégiés avec ces deux créateurs !

D'ailleurs
Le gARage, Château-gontier
04/11/2017 -03/12/2017
gARage-voyage, ça rime, oui mais à quoi ?
Rassurez vous, je vous épargnerai les tribulations italiennes de nos gARagistes l’été dernier/d’ailleurs, c’est déjà loin/ alors qu’ici, « d’ailleurs », c’est la fabuleuse expédition que nous proposent deux artistes : Serge PAILLARD et Fabrice MILLEVILLE/
Saturne 1/ canard ? canular ? Point d’interrogation/
Saturne 1 nous programme une méga virée dans l’espace sidérant et, qui sait, un contact avec des extraterrestres/ 14 points de suspension/
Toujours est-il qu’au cœur de cet univers, la mystérieuse Patatonie nous est ouverte, tel un grimoire/ une trace de vie/ une vie imaginaire finement épluchée/
A vous, visiteurs, de devenir explorateurs/
Visiteurs-explorateurs, ça rime, nous l’espérons, avec bonheur/
Bon voyage
Bernard Magnet
Bagnoles et Bahuts - Art Brut et apparentés
Salle Charpillon, Gisors
01/07/2017 - 02/07/2017
"Chers amis,
En voiture ou en camion, si votre route passe par Gisors vous serez les bienvenus à l'exposition :
Bagnoles et Bahuts - Art Brut et apparentés
Cet évènement est proposé dans le cadre du 9ème festival international d’Art Marginal de GISORS. L'exposition a lieu Salle Charpillon sur la place du marché entre le 1 et 2 juillet 2017. Le vernissage est le 30 juin à 19h.
Seront exposés des oeuvres de : Thierry CHANAUD, Jean-Michel CHESNÉ, Serge DELAUNAY, Claudine GOUX, François PEETERS, Prophet ROYAL ROBERTSON, Emmanuel THARIN, Jean TOURLONIAS, Robert VASSALO, Joseph (Pépé) VIGNES.
Je serai présent et heureux de vous accueillir.
Amicalement."
Michel LEROUX


